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ESCC – Pays Alzuréen             2-2

 

 

=> La feuille :

 

Match : 19h00

Terrain : encore un peu sous l’emprise des torpeurs hivernales

Arbitrage : hormis quelques petites phases, trio parfait

Temps : bah…hivernal, encore une fois !

Température : 5°

Esprit du match : bon

Spectateurs : Une 50aine

Arbitre Assistant : Nico

Amendes : récolte faible

3ème mi-temps : on a perdu une heure

 

                                                                                                                              

Le groupe : Clém, Enzo, Bast, Loïc, Paul, Kevin, Nono, Simon, Gaël, Cyril, Jjo, Antho, Bastos et Ben.J

           

           

                       

            « Tout allait très vite en ce début de rencontre avec deux buts pour l’ESCC en quinze minutes mais deux erreurs défensives permettaient à l’équipe adverse de recoller au score à la 25ème. Malgré ce retour, l’ESCC au terme d’un premier acte dominé ne se montrait pas assez réaliste à de trop nombreuses reprises pour ôter tout suspens à la suite de la rencontre. Le second acte allait être en effet beaucoup plus équilibré avec des possibilités de part et d’autre de prendre l’avantage mais ces 45 dernières minutes étaient surtout le moment choisi par les deux gardiens pour briller en détournant toutes les tentatives des éléments offensifs. L’équipe fanion de l’ESCC était contrainte au partage des points et voit ses poursuivants revenir ».

           

 

Tenu en échec à domicile, l’ESCC avait pourtant planté des bases intéressantes le week-end précédent, pour concrétiser ce travail d’ensemble à domicile lors de la réception de Pays Alzuréen.

Pourtant tout débutait parfaitement pour les locaux qui scoraient sur une des premières incursions dans la moitié adverse. Simon, sur une touche à hauteur des 18, trouvait Gaël aux environs de l’angle des 18. Sa demi-volée tout en rotation, à la trajectoire parabolique, trompait le gardien (1-0, 3ème). Un début de match parfait. Surtout que l’ESCC  trouvait très rapidement des décalages et pouvait mettre en places des séquences plutôt emballantes. Sur une percée de Kev, Gaël était parfaitement décalé par le premier nommé, le timing était parfait entre les deux, mais le face à face tournait à l’avantage du gardien adverse. Et c’est finalement sur la première vraie offensive adverse que l’ESCC sur un contre éclair, consécutif à un corner, que les noirs et blancs trouvaient une seconde fois la faille. Clem boxait le ballon des poings, Antho héritait d’un ballon prolongé pour placer une accélération décisive lui permettant de se trouver en face en face côté gauche. Son plat du pied enroulé d’avérait parfait et donnait deux buts d’avance au quart d’heure de jeu (2-0). Entre temps, Paul sur une frappe un peu trop croisée était lui passé aussi tout proche de scorer. Tout débutait parfaitement pour l’ESCC qui semblait, de plus, profiter d’un jour « sans » des adversaires, plutôt apathiques en ce début de rencontre. Mais l’ESCC allait se compliquer la vie. Alors qu’à 2-0, il aurait été de bon aloi de jouer bien plus direct et d’oublier quelques principes de « beau jeu », l’ESCC en cherchant constamment à relancer se faisait piéger à deux reprises en dix petites minutes, dans sa propre moitié de terrain. Un retour sur terre cruel (2-2, 25ème) alors que l’ESCC avait signé un début de match quasi parfait. Malgré cette égalisation, l’ESCC repartait de l’avant en maintenant ses intentions de jeu malgré parfois l’incompréhension de certains de nos fidèles observateurs. Si l’ESCC avait peut-être eu le tort de continuer de jouer à 2-0, bien lui en pris de la faire à 2-2. Ainsi, les noirs et bancs reprenaient de suite le contrôle de la balle et se procuraient à nouveaux d’énormes occasions par Kevin qui voyait son raid repoussé par le gardien en corner. Sur le celui-ci, Bast voyait le ballon atterrir dans sa zone mais sa déviation frôlait le poteau.

Ensuite, c’était Antho qui après une course intérieure tentait sa chance d’une frappe enroulée longeant le poteau avant que Cyril, parfaitement décalé côté droit, tergiverse quelque peu entre décalage en retrait et frappe placée – finalement repoussée ne corner - pour redonner l’avantage aux siens. 

En dépit du retour adverse très rapide dans la rencontre, l’ESCC finissait ce premier acte de façon similaire à l’entame, mais sans toutefois ajouter ce but qui, on allait le voir, aurait pu apparaitre comme salvateur.

 

 

Le second acte allait, en effet, être de manière globale bien plus équilibré. Les deux formations butaient respectivement à 3-4 reprises sur les gardiens qui allaient réaliser tous deux autant d’arrêts de grande classe, avec avantage esthétique pour Clem qui s’envolait – à l’heure de jeu - sur une parade aérienne des plus subtiles.

Offensivement, les percées de Kevin à 2-3 reprises, un nouveau face à face de Gaël, un corner rapidement joué par Antho amenaient à nouveau un danger évident. Mais les noirs et blancs ne parvenaient pas à ajouter ce but supplémentaire.

Défensivement, l’ESCC n’encaissait pas ce but supplémentaire également mais, paradoxalement, s’exposait plus que dans le premier acte.

Au terme du second acte, le partage des points s’avérait finalement logique.

 

Toutefois, l’ESCC allait, au regard du match de façon générale d’une part, avec l’ensemble des grosses opportunités obtenues et d’autre part, plus particulièrement au vu du scénario, regretter ce partage des points, surtout à domicile.

Des points qu’il faudra aller chercher et récupérer à l’extérieur.

 

 

 

 

 

 

 

Buts : Gaël et Antho

 

Passeurs : Simon et Gaël

 

 

Ballon d’or du match, récompense LE geste du match :

- co-attribution Clément et Cyril

 

 

Ballon d’eau fraîche du match, récompense le geste fair-play du match, un esprit sportif évident ou un élément notable positif :

- Une fin de match plus sympa qu’à l’aller. C’est quand même mieux comme ça.

 

 

Ballon de plomb du match, récompense l’action loupée/foirée/contre-footballistique/marrante du match :

- La tentative de ballon piqué de Ben.J vers Kevin qui finit…dans le champ. A environ 5m de la cible. Parfois le cerveau voit des trucs que les pieds ne peuvent pas nécessairement trop faire.

 

 

 

Début emballant, suite décevante
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