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Dans la continuité du bilan global de la saison, petit focus sur les perfs individuelles via cette évaluation tout en contrôle continu mais avant tout, retour sur le tableau exhaustif des BdP délivrés cette saison :
Annexe 1
Liste des Ballons de Plomb de cette saison par ordre chronologique - « BDP Hall of fame » :
- Clém A pour sa tentative de Madjer, plein axe. Effroyablement exécutée.
- Bast pour sa transversale directe dans le coffre de sa voiture. On s’étonne que les ballons disparaissent.
- Paul et ses lacets
- Kev et son CF qui a fini dans le gymnase en arrière-plan. Soit 50m derrière
- Antho, désolé, ce n’est pas pour tirer l’ambulance mais put*** Bob l’éponge, seul le vestiaire saura !
- Nono, on ne pouvait pas passer à côté pour ce que vous savez
- Kev qui lâche autant de skills que de ballons en orbite sur CF
- BenJ qui se fait déposer périph extérieur sur le but adverse
- Clem A qui faisait la circulation sur ce même périph planté aux 18 donc oubliant le marquage
- Gaël seul pour scorer avant la MT et en fait non
- Kev et Clem A, qui à cette heure-ci débattent encore sur le corner de la 1ère MT, à savoir qui doit prendre le ballon si l’un joueur te parle mais que tu t’estimes en meilleure position. On aurait cru un débat de l’entre-deux tours à la présidentielle.
- JS et sa pichenette puissance « u7 »
- le début de collaboration Gaël / Oscaro.com
- Clem pour son attaque kamikaze au gaz sarin sur un officiel
- Cyril, pour sa demi volée qui est sortie de l’enceinte du stade. A quelques jours près, il aurait pu être parmi les potentiels suspects de la mort d’Al Baghdadi, tant son ballon a dû finir à des kilomètres de Rignac ...
- Cyril garde son titre après auto attribution pour un combo face à face + péno loupés
- Clem qui a réussi avec son pied droit à aller crocheter le dernier passant de son lacet pied gauche, suivi logiquement d’une perte d’équilibre et chute à l’avant, telle une personne en perte d’autonomie. Le tout alors que le ballon était dans les 18, à distance de jeu. Exceptionnel. Plus sa dégaine vestimentaire à l’échauffement, all-in sur le BDP pour 3 mois.
- Double attribution :
* Bastos pour touche stratégique trouvée dans les 22 adverses suite à sa frappe plein axe à 30m.
* Loïc qui annonce des combi sur corners que lui seul connait.
- Co-attribution à Bast pour changement d’aile en plein dans les abdos de Bastos et Micka pour tête ultra piquée, à 1m de la ligne.
- Clem, pour passe déc’ mais pas du bon côté.
- Double attribution :
* Paul, pour chute incontrôlée bien dégueulasse
* Clem A., pour début d’Alzheimer précoce. A la recherche de son protège tibia cinq minutes durant, alors qu’il se trouvait déjà en place sur sa propre jambe.
- Paul pour son CF en orbite, réussissant à toucher un deltaplane en vol stationnaire quelques dizaines de mètres plus haut dans les Gorges du Tarn.
- Clem et son approche de la médecine douce basée sur l’apport de viande crue
- Paul pour sa 12ème chute en situation de frappes
- Cyril et Kev qui se rentrent dedans
- Adri pour débordement / chute / débordement chute / débordement
- Loïc pour corner direct vers Lestrade
- Clem A pour sa tête décroisée. Un peu trop. Légèrement trop, moyennement trop. Enfin, beaucoup, trop. On n’avait encore jamais vu un centre de la tête, c’est désormais fait.
- BenJ, 1m trop loin, 1 trop tard. Next, et vite.
Annexe 2
Jeannot : alourdi d’un bout de métal supplémentaire autour du doigt au cours de l’été 2019, il reprend la compétition début septembre. Partageant le temps de jeu avec Val jusqu’à la trêve, il reviendra aux affaires mi-février. Saison particulière pour JS, avec de nombreux matchs similaires, peu mis en contribution mais confronté à la nécessité de réaliser des arrêts décisifs. Bref, cette saison fut un bon résumé du poste particulier de gardien.
A noter un des plus beaux BDP de la saison lors du match face à Sébazac avec sa relance au pied qui a difficilement dépassé la limite de la surface.
Jeannot et sa tenue la plus sobre cette saison
Val : from D6 to D1 ! De retour au club, Val venait initialement pour garnir les rangs de l’équipe 3 et allait se retrouver titulaire lors du premier match officiel en équipe 1 ! Assidu aux entrainements, il a fait briller son poignet de fer et a répondu présent lors des exos devant le but !
A noter, seul gardien de D1 arrivant avec son sac comprenant un pli de saucisse sèche, avalé 15 mn avant le coup d’envoi. Idole.
Rare image d'une paire de gants de Val' utilisée lors des exos devant le but
Nono : il ne se voyait pas ou peu joué en équipe fanion, résultat il finit comme élément défensif avec le plus de temps de jeu. « Vrai » défenseur dans l’âme, il aime le combat physique et le duel. A failli faire basculer le match aller contre Villeneuve dans une quatrième dimension après un raid solitaire de 80m.
Son déhanché, une soirée de février après une qualification en coupe, a bouleversé le monde de la nuit ruthénoise. Essentiel en 3ème MT et à l’économie de l’Epi du Rouergue.
Nono aura été le seul joueur de la saison à signer un contrat pub perso
Lolo : indispensable à un collectif. Remplaçant ou titu, il répond présent, toujours dans le cadre du collectif avec un état d’esprit irréprochable. Pilier des 3ème MT et notamment l’invention de son langage sans voyelle. On réfléchit à l’adopter collectivement pour annoncer les combo sur CPA.
Lolo et ses digressions capillaires en cours de soirée
Cyril : auteur d’une énorme saison sur le plan individuel, il a porté l’attaque de l’ESCC lors de pas mal de matchs. Injouable en début de saison, il marque un peu le pas en novembre comme l’équipe avant de revenir chaud en 2020. Les experts scientifiques ne comprennent toujours pas comment sa débauche d’énergie est compatible avec sa conso de tabac. Toujours aussi peu inspiré au niveau des paris sportifs. Indispensable à la vie du groupe et sur le terrain. Certains sont lanceurs d’alertes, lui est lanceur des chants de victoire.
Cyril et son pari stupide de ne pas se couper sa crête tant qu'il n'avait pas gagné à ParionsSport
Adri : précontrat signé à l’âge de 6 ans dans un champ proche de Faral, son arrivée devient effective à l’été 2019. Elu plus gros mollet du département dès le premier entrainement, Adri signe un début de saison XXL avant d’être stoppé par une blessure au genou. Son impact physique a manqué à l’ESCC durant son absence. Revient au moment où la saison est stoppée. Au palmarès : un des seuls à avoir joué avec les équipes 1, 2 et 3 !
Essaye de sortir son maillot de St É lors de victoires... mais plutôt rares. En cours de formation « jardinier » auprès du maitre, Lio.
Adri, notre Andy Delort
Micka : son flow estival en a surpris plus d’un l’été dernier : short à la Luis Fernandez ou short de plage, crampons fluo et chaussette délavée. A faire passer un designer de Desigual pour un artiste. Pensait avoir rejoint le club pour taper dans la balle, il se retrouve à faire la saison au sein de l’équipe fanion. Doté d’un seul dribble, le crochet mais parfaitement maitrisé.
Inventeur de la tête surpiquée. Le Loft est sa maison. Bonne humeur communicative
Micka et son short le plus récent
Jjo : La force tranquille a franchi un cap de plus mais son corps a payé les dérives liées à son hygiène de vie du jeudi soir. Devra se rapprocher d’Andy Delort pour muscler ses mollets ou demander conseil à Adri ou Loïc. La force tranquille.
Jjo et son rituel
Clem : son short anti pubalgie lui donne des allures de guerrier à la Puyol mais au final il a plutôt le flow d’un meneur de jeu esthète jouant derrière. Son jeu sous pression et sa relance ont été très importantes au jeu de l’ESCC. La force tranquille bis. Perf XXL à Sébazac.
Elu ShortyStrapp d’or
Clem et sa photo de profil sur Foot-national.com
Clem A : si vous évoquez son nom lors de la fashion week, vous risquez de mettre en PLS pas mal de fashionista. Toujours doté d’improbables tenues, on ne s’est toujours pas s’il est avant gardiste ou beauf avec ses jogg 100% coton. Notre seconde ligne sud aff’. Sportivement sa saison s’est résumée, entre autres, à la découverte de talent de buteurs en début de saison, une masterclass à Réquista, un intérim mythique en gardien et des soins à base d’escalope.
Elu jogging d’or, catégorie « 100% coton »
L'image se suffit à elle-même
Gaël : difficile de se frayer un chemin dans le secteur offensif cette saison mais n’a pas lâché. Auteur d’un but qui aurait pu changer sa saison face à Bas Rouergue. Injustement refusé.
Aime bien faire trainer en soirée pour voir le lever du jour.
Un visuel habituel des fins de soirée de Ga, le lever de soleil
Cedr' : le plus ancien de l'équipe mais également parfois l'enfant ! Quand il décide de bouder, on doit se mettre à 3 pour le raisonner. Toutefois, cette saison a été celle de la plénitude pour Cédr' qui s'est montré régulier et indispensable de par son sens tactique et son expérience ! Va upgrader la saison pro pour rejoindre le staff !
Cedr', s'il n'est pas servi sur son côté après 5mn de jeu
Kev : durement touché par le mouvement en lien avec la grossophobie ; il s’affute progressivement pour prendre un des rôles de leader du groupe. Parfois 6, parfois 8, parfois 10, parfois 9, parfois 5, il bouche toujours un trou. Indispensable à la bonne vie du groupe, c’est lui qui était le dernier maillon de la « spéciale ESCC 2020 » sur corner. Si l’on devait faire un raccourci réducteur on dirait que ses buts dans le money time en 2020 envoient l’ESCC en R3, si l’on était plus logique, on dirait qu’il a fini le taf collectif. Un côté vigneron très assumé. Se gare où il veut également.
Elu Cubi d’or, catégorie « rouge Languedoc »
Kev et son compagnon de soirée, son Sam
Bastos : avec BenJ, il est le représentant du football fin 90’s-00’s par leur passion commune pour les tacles, les chaussures noires et les ballons joués au casque. Son sens du collectif et du sacrifice a pris une dimension rare cette saison. Il porte l’intérêt du groupe avant le sien. On en a eu la preuve en coupe. Toujours les bons mots pour booster le groupe.
A une tendance à rejoindre Clem A. sur certaines tenues d’entrainement.
Elu sifflet d’or pour son intérim assuré avec brio à Réquista.
Basto, un des rares joueurs à s'entrainer avec ce genre de chaussettes. Un flow injouable.
Paul : il chopait, jadis, de l’urticaire quand il fallait défendre, il s’est retrouvé à finir deux fois latéral gauche cette saison. Toujours aussi fort sur ses points-forts, toujours aussi désespérant sur ses points faibles. Nous gratifie du but de la saison à Réquista et nous sort un paquet de buts décisifs. Ses messages pour les bouffes d’après entrainement sont devenus des repères indispensables à la bonne marche du groupe. Indispensable à la vie du groupe et aux 3èmes MT et son bon déroulé. En couple avec Jack Daniels.
Paul et ses chutes. Un fil rouge de la saison.
Bast : Si un jour le club devient omnisports ce sera pour intégrer une branche musicale, sous son influence latino-cubaine ! Avant d’être mélomane et batteur, il est piston sur un côté si ses pistons musculaires le laissent tranquille ! Plutôt très convaincant pour cette première saison « intégrale » à ce nouveau poste, tel un veau gambadant dans la luzerne.
Pour les coupes esthétiques de la pelouse de votre espace vert, n’hésitez pas, la cisaille est toujours proche. Lui aussi, en couple avec Jack Daniels.
Bast et son plat signature
Dodo : certainement le meilleur finisseur du club, ses apparitions en équipe fanion ont été régulières. En progression, il est destiné à court terme à faire partie intégrante du groupe s’il s’achète un vrai cardio ! Bien qu’assidu aux entrainements, il a la condition physique d’un u11. Supporter des Verts, son chambrage est limité. Du coup quand il parle foot pro, il s’enferme avec Lolo et Adri pour évoquer les perf’ de Loic Perrin, fredonnant les anciens chants stéphanois
Dodo à la prépa : 1ère séance, au bout de 3mn.
Antho : promu capitaine en début de saison, il est stoppé en plein vol après une chute anodine à Druelle, le poignet coupé-décalé. Si l’ESCC parviendra à pallier son absence dans un premier temps, celle-ci se fait plus ressentir lors du mois de novembre. Bob l’éponge reviendra de plus belle en 2020, après la trêve ! Devenu un des leaders du groupe, il fait désormais partie des meubles.
Poignet-éponge, le combo pas vraiment gagnant pour Antho